Les Jeux Olympiques, un gouffre financier pour la France

C’est devant 200 000 personnes que la flamme olympique est arrivée mercredi (8 mai) à Marseille, quelques semaines avant l’ouverture des Jeux olympiques et paralympiques qui se dérouleront du 26 juillet au 8 septembre. Mais quelles seront les retombées économiques de la compétition pour la France ?

Le 15 avril dernier, à 100 jours du début de l’évènement, le président Emmanuel Macron expliquait au micro de BFMTV/RMC que la France avait investi « deux milliards d’euros » de fonds publics pour construire les équipements nécessaires aux compétitions. « Des logements, des bureaux, des infrastructures de sport. Ces deux milliards ont déjà généré plus de six milliards d’euros d’activités. On a fait travailler 2000 entreprises, on a créé de l’emploi. »

Le budget officiel des Jeux olympiques et paralympiques 2024 est pour l’heure estimé à 8,8 milliards d’euros, une augmentation de 15 % par rapport à ce qui avait été annoncé lors de la candidature de la France en 2017.

« Lors de précédentes éditions des Jeux, certains budgets ont été multipliés par sept ou par huit, donc je ne parlerais pas de dérapage [dans le cas de la France]. Cette augmentation s’explique par l’inflation, dans le cadre d’un projet pluriannuel », indiquait Christophe Lepetit, responsable des études économiques au Centre de droit et d’économie du sport (CDES) à France 24.

Dans un rapport sur les Jeux olympiques sorti en juillet 2023, la Cour des comptes expliquait quant à elle que « la progression des dépenses depuis le budget de candidature résulte pour une part d’une inflation, exogène à l’organisation des Jeux, nettement supérieure à celle anticipée. Cependant, les deux tiers de cette augmentation proviennent, non pas d’une dérive en gestion ou une évolution inconsidérée du projet, mais d’une sous-estimation évidente du budget de candidature ».

Selon les derniers chiffres, le Comité d’Organisation des Jeux (COJO) dispose de 4,4 milliards pour accueillir les athlètes et organiser les compétitions, à 97 % d’origine privés. Plus de 4,4 milliards d’euros supplémentaires, dont 50 % de fonds publics, viennent par ailleurs alimenter la SOLIDEO, la Société de Livraison des Ouvrages Olympiques, chargée de superviser la construction et la rénovation des infrastructures sportives et non sportives.

Au total, le budget de la compétition devrait légèrement dépasser les 10 milliards d’euros, soit 0,4 % du PIB français, souligne Bruno Cavalier du cabinet de services financiers ODDO-BHF, pour Les Échos, un chiffre similaire à celui des JO de Londres en 2012. Une facture qui ne prend pas en compte les « coûts induits » pour l’État, notamment en termes de sécurisation de l’espace public.

Plus de 15 millions de visiteurs sont attendus en France pour la durée de la compétition, même si un « effet d’éviction » pourrait être observé, certains touristes ayant tendance à reporter leur voyage en raison de l’affluence exceptionnelle dans le pays. L’activité générée par les JO pourra-t-elle alors contrebalancer les sommes mobilisées ?

Des Jeux rentables ?

Selon un rapport du cabinet ODDO-BHF, l’impact des Jeux devrait avoir « des bénéfices économiques très limités, voire nuls à moyen terme ». « Aucun impact macroéconomique significatif n’est attendu », note l’étude, « mais des impacts microéconomiques et sectoriels », par exemple pour les médias, l’hôtellerie, les loisirs, la restauration, les boissons, les biens de consommation, l’immobilier et les transports. 

Pour autant, « les Jeux devraient bien financer les Jeux », comme le répète depuis des années Emmanuel Macron.

Selon une étude du cabinet Asterès, les dépenses liées à l’organisation devraient générer 5,3 milliards d’euros de recettes fiscales et sociales, soit un montant globalement équivalent aux dépenses publiques engagées. 

Une estimation prudente selon le cabinet, qui ne prend pas en compte l’impact de la compétition sur le tourisme ou l’attractivité du pays. Au total, les Jeux olympiques pourraient soutenir la croissance française durant l’été, avec une progression de 0,5 % du PIB au troisième trimestre, avant de retomber à 0,1 % pour les trois mois suivants.

Difficile en définitive de tirer le bilan complet des recettes financières effectives avant la fin de la compétition et la réalisation de nouvelles études.

« On n’accueille pas un évènement sportif pour générer de la croissance économique, mais pour des raisons géopolitiques et sociales, pour le positionnement de la France à l’international », nuance de son côté Christophe Lepetit. Reste pour Paris à ce qu’aucun problème organisationnel ou sécuritaire ne vienne perturber les compétitions.

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Métaux | Texte intégral gratuit | Enquête sur la limite de formage à chaud de l’acier de formage à chaud 22MnB5 dans le cadre d’un processus d’emboutissage

Figure 1.
Modèle géométrique de matrice expérimentale pour le renflement de Nakazima.

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Figure 2.
Courbe force-temps de poinçonnage correspondant à des échantillons de différentes largeurs : (un) 20 millimètres ; (b) 80 mm ; (c) 100 mm ; (d) 180 mm.

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Figure 3.
Diagramme de transition du chemin de déformation principal maximal correspondant à des échantillons de différentes largeurs : (un) 20 mm ; (b) 180 mm.

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Graphique 4.
Équipement d’expérimentation de marquage à chaud.

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Graphique 5.
Les courbes contrainte-déformation de l’acier 22MnB5 dans différentes conditions expérimentales : (un) vitesse de déformation = 0,1 s−1; (b) vitesse de déformation = 1 s−1; (c) vitesse de déformation = 10 s−1.

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Graphique 6.
Diagramme de transition d’équilibre et CCT de l’acier 22MnB5. (un) Le diagramme de transition d’équilibre ; (b) Courbe CCT.

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Graphique 7.
Néphogramme de taux de déformation plastique équivalents sous différentes vitesses de formage : (un) 2,5mm/s; (b) 25mm/s; (c) 250 mm/s.

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Figure 8.
Néphogramme de déplacement correspondant à l’acier 22MnB5 sous différentes vitesses de formage : (un) 2,5mm/s; (b) 25mm/s; (c) 250 mm/s.

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Graphique 9.
Néphogramme de taux d’amincissement correspondant à l’acier 22MnB5 sous différentes vitesses de formage : (un) 2,5mm/s; (b) 25mm/s; (c) 250 mm/s.

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Graphique 10.
Néphogramme du champ de température correspondant à l’acier 22MnB5 sous différentes températures de déformation initiale : (un) 600 °C ; (b) 700 °C ; (c) 800 °C ; (d) 900 °C.

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Graphique 11.
Néphogramme de déplacement de l’acier 22MnB5 à différentes températures initiales de formage : (un) 600 °C ; (b) 700 °C ; (c) 800 °C ; (d) 900 °C.

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Graphique 12.
Néphogramme du taux d’amincissement de l’acier 22MnB5 sous différentes températures de déformation initiale : (un) 600 °C ; (b) 700 °C ; (c) 800 °C ; (d) 900 °C.

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Graphique 13.
Néphogramme de déformation axiale de fracture critique lorsque les largeurs de plaque sont de 20 mm et 180 mm. (un) 20 mm, (b) 180 mm.

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Graphique 14.
Néphogramme de déformation radiale de fracture critique lorsque les largeurs de plaque sont de 20 mm et 180 mm. (un) 20 mm, (b)180 mm.

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Graphique 15.
Le diagramme limite de formage à chaud de la tôle d’acier à haute résistance 22MnB5 à 700 °C.

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Graphique 16.
Courbe force-déplacement lors de l’emboutissage pour la plaque de 20 mm de largeur.

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Graphique 17.
Tableau de comparaison du néphogramme de déformation principale maximale et de l’état de la plaque après des expériences avec différentes largeurs de plaque : (un) 60 millimètres ; (b) 60 millimètres ; (c) 180 mm ; (d) 180 mm.

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Tableau 1.
Composition chimique de l’acier 22MnB5 étudié (Fraction massique, at. %).

Élément C Mn P. S Si Ti + Cr B Fe
Contenu (à. %) 0,22 1.2 0,019 0,003 0,25 0,229 0,003 Bal.

Tableau 2.
Résistance à la traction et déformation à la rupture de l’acier 22MnB5 dans différentes conditions expérimentales.

Température (°C) 600 700 800 900
Taux de déformation (s−1) 0,1 1 dix 0,1 1 dix 0,1 1 dix 0,1 1 dix
Résistance à la traction (MPa) 250 284 310 158 177 192 127 143 148 98 109 121
Souche de fracture 0,228 0,243 0,232 0,271 0,283 0,256 0,299 0,316 0,301 0,301 0,313 0,311

Tableau 3.
Points de déformation axiale et radiale sous différents chemins de déformation.

Déformation radiale −0,169 −0,172 −0,186 −0,146 −0,009 −0,05 0,002 0,048 0,103 0,131 0,153
Déformation axiale 0,441 0,46 0,456 0,422 0,337 0,347 0,311 0,332 0,349 0,366 0,387

Tableau 4.
Profondeur de pressage et force de poinçonnage maximale après emboutissage avec différentes largeurs de plaque.

Largeur de plaque (mm) 20 40 60 80 100 120 140 160 180
Déplacement d’emboutissage (mm) 34,0 25.9 27.6 26,7 27.1 25.2 26.3 27.4 27.6
Force de frappe maximale (T) 1,37 1,98 2.42 3.25 3,83 4.28 5,62 5,78 6.54

Tableau 5.
Force de frappe des résultats expérimentaux et de simulation sous le même déplacement d’appui.

Largeur de plaque (mm) 20 40 60 80 100 120 140 160 180
Déplacement d’emboutissage (mm) 30 23 25 25 25 23 24 25 25
Force de poinçonnage de l’expérience (T) 0,91 1.8 2.4 3.2 3.8 4.2 5.6 5.6 6.5
Force de frappe de simulation (T) 0,88 1,5 2.6 3.0 3,75 4.0 5.8 5.5 6.3

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Attractivité économique : prévu lundi, le 7e sommet Choose France veut battre des records

« France, terre de champions » : le 7e sommet Choose France, présidé par Emmanuel Macron au château de Versailles, accueille lundi des investisseurs étrangers sur un thème très Jeux olympiques, avec l’objectif de rester en haut du podium européen de l’attractivité. L’an dernier, 28 projets avaient été annoncés lors de ce forum annuel lancé en 2018, pour un total de 13 milliards d’euros.

Cette fois, leur nombre constituera « un record », a annoncé l’Élysée, dans un contexte 2024 où la France sera très en vue – les Jeux, le Sommet de la francophonie, le 80e anniversaire du Débarquement ou la réouverture de la cathédrale Notre-Dame – et sur fond d’apparente reprise économique, la croissance et l’emploi ayant défié des attentes plus pessimistes en progressant chacun de 0,2 % au premier trimestre.

« Très grands projets »

Les montants seront dévoilés ce week-end, mais déjà le Premier ministre Gabriel Attal a évoqué mardi devant les députés l’annonce de « très grands projets » au sommet. La France est restée en 2023 pour la cinquième année consécutive premier pays d’Europe pour les investissements étrangers, devant le Royaume-Uni et l’Allemagne, selon le baromètre du cabinet EY, avec 1 194 annonces de projets, représentant 39 773 créations d’emplois.

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Par une méthodologie différente, Business France, structure publique de promotion économique de la France, comptabilise même 1 815 décisions d’investissements étrangers l’an dernier. Avec ses quelques dizaines d’annonces, Choose France est donc loin d’être le seul endroit où s’élaborent les décisions. Mais c’est le plus exclusif. Quelque 180 patrons étrangers sont attendus, le maximum possible « pour garder à l’événement une taille raisonnable », selon l’Élysée, et leur permettre de rencontrer chacun au moins un ministre français.

Viendront notamment les dirigeants d’ArcelorMittal, JP Morgan, Bank of America, Goldman Sachs, Coca-Cola, ou encore AstraZeneca et Novartis dans le domaine de la pharmacie, Envision et Air Products dans le domaine industriel, et ceux des fonds souverains saoudiens ou qataris. Plus de la moitié seront non européens (20 % nord-américains et 20 % asiatiques notamment), et environ un tiers viennent pour la première fois. Une soixantaine de patrons français seront là aussi.

« Emporter la décision »

Gabriel Attal présidera le déjeuner, une nouveauté pour un Premier ministre. Le commissaire européen au Marché intérieur Thierry Breton y assistera. Après une matinée sur le terrain, pour mettre en valeur un des projets du sommet, Emmanuel Macron apparaîtra à Versailles en début d’après-midi. Il présidera une table ronde sur la décarbonation, et une autre sur l’intelligence artificielle et le quantique, sujets sur lesquels la France se distingue en Europe. Ces tables rondes « sont des formats très exclusifs » avec peu de participants, précise l’Élysée.

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Le président en clôturera une autre sur l’Inde, et s’entretiendra en tête-à-tête avec quelques patrons pour lesquels une conversation avec le chef de l’État peut s’avérer de nature « à emporter la décision » sur des projets « très importants et très stratégiques », explique-t-on de même source. De telles conversations avaient abouti l’an dernier au lancement par le fabricant de batteries taïwanais ProLogium d’un projet de « gigafactory » de 5,2 milliards d’euros à Dunkerque, ou à l’agrandissement pour 2,1 milliards d’euros du laboratoire danois Novo Nordisk à Chartres.

« Aucune région n’est isolée »

Après une séance plénière avec tous les patrons – qui bénéficieront en prime d’une petite séquence JO avec le président du comité d’organisation Tony Estanguet – le président recevra enfin l’assemblée à dîner dans la prestigieuse Galerie des Glaces du château de Versailles. Choose France participe à la stratégie de réindustrialisation de la France voulue par l’exécutif, marquée par une amélioration du cadre fiscal et réglementaire pour les entreprises.

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Pourquoi des taux plus élevés de la Fed ne sont pas totalement exclus

Les investisseurs ne s’attendent pas à ce que la Réserve fédérale augmente à nouveau les taux d’intérêt, et les responsables ont clairement indiqué qu’ils considéraient que de nouvelles augmentations étaient improbables. Mais un point important à retenir des récents commentaires de la Fed est qu’improbable et inconcevable ne sont pas la même chose.

Après que la banque centrale ait maintenu ses taux à 5,3 % la semaine dernière, le président de la Fed, Jerome H. Powell, a donné une conférence de presse au cours de laquelle ce qu’il n’a pas dit comptait.

Lorsqu’on lui a demandé si les autorités pourraient augmenter à nouveau les taux d’intérêt, il a répondu qu’il pensait que ce ne serait probablement pas le cas – mais il a également évité d’exclure complètement cette possibilité. Et lorsqu’on lui a demandé à deux reprises s’il pensait que les taux étaient suffisamment élevés pour maîtriser pleinement l’inflation, il a contourné la question sur la pointe des pieds.

« Nous pensons que c’est restrictif, et nous pensons qu’avec le temps, ce sera suffisamment restrictif », a déclaré M. Powell, mais il a ajouté une mise en garde critique : « Ce sera une question à laquelle les données devront répondre. »

Il y avait un message dans cette esquive. Alors que les autorités sont plutôt enclines à maintenir les taux d’intérêt à leurs niveaux actuels pendant une longue période afin de maîtriser l’inflation, les décideurs politiques pourraient être ouverts à une hausse des taux d’intérêt si l’inflation devait repartir à la hausse. Et les responsables de la Fed l’ont clairement indiqué lors d’entretiens et de commentaires publics au cours des derniers jours.

Neel Kashkari, président de la Réserve fédérale de Minneapolis, a déclaré mardi qu’il se méfiait d’un scénario dans lequel l’inflation resterait bloquée à son niveau actuel, et a laissé entendre qu’il était possible que les taux augmentent davantage.

Michelle Bowman, une gouverneure de la Fed qui tend à favoriser des taux d’intérêt plus élevés, a déclaré qu’elle restait « prête à augmenter » les coûts d’emprunt si les progrès en matière de réduction de l’inflation restaient au point mort ou s’inversent. Et Thomas Barkin, président de la Banque fédérale de réserve de Richmond, a déclaré qu’il pensait que les taux pesaient sur l’économie mais que « le temps nous dira » s’ils le faisaient suffisamment.

Les responsables s’attendent toujours à un ralentissement de l’économie étant donné la fixation actuelle des taux d’intérêt, qui, selon eux, pèse sur la demande dans la mesure où elle rend plus coûteux pour les entreprises d’emprunter de l’argent pour se développer et pour les ménages d’acheter à crédit. Même si les progrès en matière de réduction de l’inflation ont stagné ces derniers temps, les dirigeants de la Fed ont clairement indiqué que le résultat le plus probable à ce stade serait de maintenir les taux d’intérêt au niveau actuel pendant un certain temps afin de freiner progressivement la croissance et de provoquer des hausses de prix. revenir à leur objectif de 2 pour cent.

Les décideurs politiques ont également déclaré que s’ils étaient déterminés en 2022 et 2023 à lutter contre l’inflation, même si cela s’accompagnait d’un coût économique élevé, ils adoptent désormais une approche plus prudente. L’inflation est en forte baisse par rapport à ses sommets de 2022. Compte tenu de la modération, il est moins urgent pour la Fed de freiner rapidement l’inflation, les responsables ont donc la liberté d’agir avec prudence et d’essayer d’éviter de provoquer une récession.

Mais alors que les responsables de la Fed s’installent pour une pause en attendant que leur politique comprime suffisamment l’économie pour vaincre les hausses rapides des prix, cette position pourrait changer. Si l’inflation recommence à se calmer de manière décisive, ils s’attendent à une baisse des taux. Et si l’inflation les surprend en repartant à la hausse, des hausses de taux restent possibles.

Heureusement pour tous ceux qui attendent une baisse des taux des cartes de crédit, des automobiles ou des prêts hypothécaires – et espèrent que les coûts d’emprunt n’augmenteront pas davantage – la plupart des économistes s’attendent à un ralentissement de l’inflation dans les mois à venir, et pratiquement aucun ne s’attend à ce qu’elle augmente.

L’inflation est restée bloquée ces derniers mois après avoir fortement diminué l’année dernière, en partie parce que les coûts du logement se sont révélés étonnamment tenaces et que les coûts des assurances ont augmenté. Mais les économistes d’une enquête Bloomberg pensent que cela pourrait changer à partir de la semaine prochaine : les nouvelles données de l’indice des prix à la consommation devraient montrer que l’inflation globale a chuté à 3,4 pour cent en avril, contre 3,5 pour cent en mars.

D’ici la fin de l’année, les économistes s’attendent à ce que ce chiffre descende à 2,9 pour cent. En fait, pas un seul économiste dans une autre enquête de Bloomberg ne s’attendait à ce qu’il soit supérieur à son niveau actuel d’ici le dernier trimestre de 2024. Et l’indice d’inflation préféré de la Fed, l’indice des dépenses de consommation personnelle, devrait être encore plus bas, à 2,5 %.

« Tout le monde est en quelque sorte dans le même camp, mais je pense que c’est pour de bonnes raisons », a déclaré Gennadiy Goldberg, stratège en taux chez TD Securities, notant que les économistes sont assez confiants dans le fait que l’inflation des loyers ralentira et que les prix des assurances devraient éventuellement se modérer.

« Le niveau de confiance est assez élevé dans la baisse de l’inflation d’ici la fin de l’année », a-t-il déclaré. « La question est de savoir si la baisse sera suffisamment rapide ou suffisamment précoce pour que la Fed puisse réduire ses taux cette année. »

Cette prévision d’une inflation plus faible explique pourquoi les investisseurs s’attendent également à une baisse des taux d’intérêt, et non à une hausse, dans les mois à venir. Les marchés ont fortement réduit leurs attentes en matière de baisses multiples des taux cette année, mais ils voient une forte probabilité d’une ou deux baisses d’ici la fin de l’année. Ils ne voient pratiquement aucune chance d’une augmentation des taux.

Mais même si personne ne s’y attend, il existe toujours un risque de reprise de l’inflation. Les problèmes géopolitiques pourraient faire monter les prix de l’essence, ce qui pourrait ensuite se répercuter sur d’autres produits et services comme les tarifs aériens. Ou bien – plus inquiétant pour la Fed – l’économie pourrait se réchauffer, permettant aux entreprises d’augmenter plus rapidement les prix des biens et services.

Ce deuxième scénario semble être celui auquel les autorités prêtent attention, et certains ont suggéré qu’ils seraient disposés à augmenter les coûts d’emprunt s’ils étaient convaincus que les niveaux actuels des taux d’intérêt ne font pas assez pour peser sur la croissance et faire baisser les prix.

« Si nous devons maintenir les taux là où ils sont pendant une période prolongée pour freiner l’économie, ou si nous devions même les augmenter, nous ferions ce qu’il faut pour faire baisser l’inflation », a déclaré M. Kashkari. a déclaré mardi.

Le résultat ? Les investisseurs, les économistes et les responsables de la Fed eux-mêmes s’attendent largement à ce que la prochaine mesure de la banque centrale soit une baisse des taux d’intérêt. Mais c’est parce qu’ils sont convaincus que l’inflation est sur le point de baisser. Si cette vision s’avérait fausse, les choses pourraient changer.

A lire:

Histoire des doctrines économiques/3-2-2.,Référence litéraire de cet ouvrage.

Jeux olympiques : les éboueurs de Paris menacent de faire grève

Lors de la grève des éboueurs contre la réforme des retraites, à Paris, le 21 mars 2023. Lors de la grève des éboueurs contre la réforme des retraites, à Paris, le 21 mars 2023.

L’image reste dans la tête de nombreux Parisiens : lors du mouvement social contre la réforme des retraites au printemps 2023, la grève d’une partie des 7 500 agents de la direction de la propreté et de l’eau de la Ville de Paris s’était traduite par un amoncellement de déchets dans certains arrondissements. Alors que quinze millions de visiteurs sont attendus pour les Jeux olympiques, la filière traitement des déchets, nettoiement, eau, égouts, assainissement (FTDNEEA) de la CGT a choisi de jouer à nouveau cette carte, en déposant un préavis de grève sur une partie du mois de mai (les 14, 15, 16, 22, 23 et 24), puis du 1er juillet au 8 septembre. « Ça ne nous fait pas plaisir de le faire, bien sûr que l’on veut montrer un Paris propre au monde entier, mais c’est un calcul stratégique, car les négociations sont au point mort », admet Smina Mebtouche, secrétaire générale de la CGT-FTDNEEA.

Le syndicat, majoritaire chez les éboueurs, égoutiers et autres conducteurs de bennes, exige notamment une prime de 1 900 euros pour tous les agents concernés de près ou de loin par les JO, arguant que les quantités de déchets augmenteront partout dans la capitale cet été. En avril, la mairie avait annoncé que ses équipes percevraient des primes comprises entre 600 et 1 900 euros « en fonction de l’intensification de la charge de travail et de la mobilisation sur la période couvrant les Jeux olympiques et les Jeux paralympiques ». La CGT demande aussi une augmentation de l’indemnité de fonctions, de sujétions et d’expertise (IFSE) – variable selon les postes, elle constitue une part importante de la rémunération mensuelle des agents – de 400 euros par mois pour tous les personnels.

Chez les éboueurs de Marseille, la CGT demande aussi une augmentation de l’IFSE, et l’harmonisation de son montant entre les agents de la métropole, tout en protestant contre une réorganisation du système de collecte des déchets. Le syndicat avait ainsi déposé un préavis de grève illimité un mois avant l’arrivée de la flamme olympique, le 8 mai.

Faute de réponse de la métropole, une partie des agents a cessé le travail, surtout dans les quatrième et cinquième arrondissements de la ville, entre le 29 avril et le 7 mai. Selon la CGT, qui compte poursuivre la métropole pour entrave à la grève, il y aurait eu jusqu’à 70 % de grévistes parmi les mille éboueurs de Marseille, lorsque la métropole en a compté une « quarantaine ». « Le but était de faire un coup d’éclat. Mais les revendications de la CGT sont irréalistes, elle voudrait travailler une heure de moins par jour avec 300 euros de plus », assure un représentant d’Aix-Marseille Métropole.

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Redémarrage sous surveillance

Dans l’économie française, le printemps est timide mais il est bien là. Les derniers indicateurs confortent le scénario d’un redémarrage équilibré. Après quatre années où l’action publique a joué une action déterminante, le privé reprend la main.

D’abord, les employeurs ont recommencé à embaucher (+50.000 emplois au premier trimestre, davantage que prévu). Ils augmentent aussi les salaires alors que l’inflation s’est calmée. Le salaire mensuel de base a progressé de 3,3 % en un an, davantage que les prix (+2,1 %). Ces mouvements portent un pouvoir d’achat qui avait été matraqué par la vague d’inflation de 2022-2023. Ce qui laisse espérer une montée en puissance de la consommation.

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Jeux olympiques: Pourquoi c’est un mauvais calcul de congédier son locataire

DÉCRYPTAGE – Évincer son locataire ou transformer un logement en meublé saisonnier est encadré par la loi. S’en affranchir expose à de lourdes sanctions pécuniaires.

Cet article est extrait du Figaro Magazine

Des tarifs multipliés par cinq, des nuitées à 1000 €. Les prix astronomiques annoncés pour des meublés parisiens entre le 26 juillet et le 11 août donnent le vertige, et des idées à des bailleurs peu scrupuleux. Ceux-là n’hésitent pas à donner congé au locataire en place – avec un motif fallacieux – pour louer à des supporters le temps des Jeux olympiques. « On a constaté une hausse des consultations à propos de congés, émanant des bailleurs. Nous en avons dénombré 1666 de septembre 2023 à mars 2024 », témoigne Hélène Le Gall, directrice générale des Agences départementales pour l’information sur le logement (Adil) de Paris et du Val-de-Marne. « La proportion de congés non valides (par exemple, signifiés par mail et non en recommandé, NDLR) est passée de 24% en 2023 à 28% sur les sept derniers mois », ajoute-t-elle.

6000 € d’amende pour congé illégal

« Les congés frauduleux ont toujours existé, rappelle Barbara Gomes, conseillère déléguée en charge de la protection des locataires…

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Rassemblez-vous, connectez-vous, célébrez : Sommet Innovate Raleigh 2024

Innovate Raleigh Summit 2024 a été un immense succès, l’accent étant mis sur la réunion, la connexion et la célébration de l’écosystème d’innovation et de startup de Raleigh. Michael Haley, directeur exécutif du développement économique du comté de Wake et vice-président principal du développement économique de la Raleigh Chamber, a lancé le sommet en souhaitant la bienvenue aux participants et en soulignant la haute qualité de vie de Raleigh, les espaces de démarrage et de coworking, les universités et les opportunités de réseautage qui en font un environnement très favorable à l’entrepreneuriat. Comme les participants l’ont découvert, Génome de démarrage a nommé Raleigh le deuxième écosystème émergent de startups mondiales en 2023, et pour cause. Le discours de Michael a été suivi par plusieurs intervenants qui ont partagé leurs idées sur l’entrepreneuriat, l’innovation, l’intelligence artificielle, la durabilité et bien plus encore à Raleigh et dans la région environnante.

Cindy Eckert, une entrepreneure en série autodidacte et une ardente défenseure des femmes, a prononcé un discours dynamique sur la défense de Raleigh, inspirant toutes les personnes présentes. Cindy a partagé ses expériences dans l’industrie des biosciences, où elle a créé et vendu deux entreprises pour plus de 1,5 milliard de dollars. Son travail aujourd’hui au sein de The Pinkubator continue de briser les barrières en investissant et en encadrant d’autres femmes pour obtenir le même succès. Le discours de Cindy a été un rappel inspirant que l’innovation n’est pas seulement une question de technologie, mais aussi de repenser la façon dont nous promouvons notre ville et notre région auprès d’autres entrepreneurs et investisseurs.

Les participants ont ensuite entendu le Raleigh Success Panel, qui a réuni un groupe de propriétaires de petites entreprises, d’entrepreneurs et d’innovateurs inspirants qui accomplissent de grandes choses ici même dans notre communauté. Les panélistes, dont Terrence Holt, président de Holt Brothers Construction, Maggie Kane, fondatrice et directrice exécutive de A Place at the Table, Meg Powell, Pharm. D., PDG de 501 Ventures, et Scot Wingo, co-fondateur et PDG de Spiffy et partenaire général du Triangle Tweener Fund, ont discuté des changements positifs, des améliorations et des améliorations qu’ils ont constatés dans l’écosystème d’innovation de Raleigh au cours des 10 dernières années. et les lacunes les plus urgentes qui doivent être comblées.

L’événement comprenait également des séances de discussion flash, une sur l’intelligence artificielle et une autre sur l’entrepreneuriat social, la durabilité et le mouvement des créateurs. Tom Darden, fondateur et PDG de Cherokee Fund, et Kyle Touchstone, directeur exécutif de Raleigh Economic Development, ont partagé leurs idées sur les manières potentielles dont l’IA aura un impact sur notre vie quotidienne et notre travail. Aly Khalifa, co-fondatrice et directrice de l’innovation de Positive Company, et Brian Burnett, fondateur et concepteur en chef de Bespoke Venture Partners, ont partagé leurs expériences en intégrant des pratiques durables dans de grandes idées et en faisant face au redoutable « non ». Ces sessions ont mis en évidence le rôle de l’innovation dans la création d’un avenir plus durable et plus équitable.

Le sommet s’est terminé par les remarques d’Adrienne Cole, présidente et directrice générale de la Raleigh Chamber, qui a annoncé le lancement de la première stratégie d’innovation globale visant à faire du métro de Raleigh l’écosystème d’innovation le plus dynamique, créatif et inclusif du pays. Adrienne a souligné l’importance de la collaboration et du partenariat pour atteindre cet objectif. Elle a également souligné la nécessité d’une stratégie commune décrivant les investissements, les partenariats et les étapes nécessaires pour réaliser cette vision avant de diriger les participants vers une session de réseautage spéciale avec des invites de conversation générées par l’IA.

Merci à tous ceux qui se sont réunis et ont discuté des dernières idées, technologies et stratégies pour construire un avenir meilleur. Nous sommes également extrêmement reconnaissants envers chacun des sponsors du Sommet Innovate Raleigh. Leur soutien a contribué à rendre l’événement possible et a souligné l’importance de se réunir, de se connecter et de célébrer ensemble. Trouvez plus de couverture de cet événement sur X, Instagram et LinkedIn en utilisant #innovateRAL.

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À Marseille, « 417 millions d’euros » dépensés via Airbnb et 860 000 voyageurs accueillis en 2023

Que représente un événement comme les Jeux olympiques pour la plateforme Airbnb ?

D’abord, nous sommes partenaire officiel de Paris 2024, partenaire de l’arrivée de la flamme à Marseille mais aussi du relais de la flamme. Il n’y a pas de meilleur événement pour valoriser la rencontre, qui est au cœur de nos valeurs. On a investi 27 millions d’euros pour la réussite de ces Jeux. C’est un événement majeur : on attend jusqu’à 500 000 voyageurs, peut-être plus, qui seront sur Airbnb pour les Jeux olympiques. À Marseille, il y a deux fois plus de réservations cette année qu’à la même période l’an dernier. Nos hôtes seront aussi à l’honneur, une centaine participeront au relais de la flamme dès le 9 mai : je connais au moins un relayeur qui est Marseillais.

Il y a toujours ce questionnement sur les potentielles retombées économiques des voyageurs Airbnb…

Oui et nous répétons que nous sommes un poumon économique de ces territoires. C’est ce que démontrent les résultats de l’étude Deloitte qui viennent d’être publiés (une commande de la plateforme Airbnb sur la contribution économique des hébergements, NDLR). En 2023, la location de ces hébergements meublés a généré 43 milliards d’euros de dépenses et d’activités pour l’économie de notre pays, 360 000 emplois créés ou soutenus et 4,9 milliards d’euros de recettes fiscales. Il faut aussi montrer cette réalité.

Et à Marseille, quelle est cette réalité ?

L’an dernier, Marseille a accueilli 860 000 voyageurs sur 3,5 millions de nuitées. Une activité qui a ainsi généré 417 millions d’euros de dépenses, dont un quart (90 millions) a bénéficié aux restaurateurs de la ville. L’activité a également profité à 5000 emplois. Enfin, les séjours représentent 4,2 millions de recettes fiscales pour la municipalité.

On peut s’attendre à plus pour les résultats 2024 ?

Marseille est la troisième ville la plus recherchée et la plus réservée pour les Jeux olympiques. Il y a eu deux fois plus de réservations pour ce 8 mai que l’an dernier et au global, plus de 40 % de réservations en plus…

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À Pleslin-Trigavou, Armor Méca reprise par un groupe normand, une vingtaine d’emplois supprimés

Armor Méca, entreprise basée à Pleslin-Trigavou (22), a été reprise par Drouault Industries, un groupe normand dont le siège est à Granville, dans la Manche. Le tribunal de commerce de Saint-Malo (35) a notifié ce rachat dans une décision rendue lundi 6 mai, selon une information d’Ouest-France. Armor Méca, qui fabrique des pièces pour l’aéronautique civile et militaire, avait été placée en redressement judiciaire en mars.

Sur les 110 employés de l’entreprise costarmoricaine, environ 80 % seraient repris par Drouault Industries. Une vingtaine d’emplois seraient donc supprimés, entraînant la mise en place d’un plan de sauvegarde de l’emploi (PSE).

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